Vyrhelle

Les mots de l’artiste : 

Vyrhelle… oui, bien sûr, c’est un pseudonyme. Mais mon vrai nom étant à rallonge, j’ai préféré vous l’épargner. Vyrhelle, c’est plus facile à retenir, c’est plus stylé et je l’aime bien ce nom, tout simplement.

Après, je suis ce qu’on appelle généralement une artiste. Sauf qu’on met un peu tout et n’importe quoi sous cette appellation et moi-même, j’ai du mal à la définir vraiment. Je lui préfère le terme de créatrice. Et pas n’importe laquelle. Une créatrice indépendante.

Illustratrice, dessinatrice et scénariste de BD, auteure ? Un peu tout ça à la fois…

Je me définis donc comme une créatrice. Le support de mes travaux est souvent un choix fait en fonction de ce que je veux créer, raconter, exprimer. Le dessin est certainement mon premier amour et il a décidé de mes études en école d’Art Appliqués (Ecole Emile Cohl à Lyon). Mais l’expérience m’a fait comprendre que pour moi, c’est une activité qui ne se suffit pas à elle-même. Elle doit faire partie d’un tout créatif où se mélangent visuels, histoires, atmosphères, personnages, etc. Quelque part, je crois que je tiens plus de la barde conteuse que de l’artiste peintre.

Du coup, ça définit les lignes directrices de mon travail, qui se décline en « Univers », aussi bien au niveau visuel que conceptuel. Bien évidemment, le côté visuel est le plus simple et le plus rapide à présenter. Il suffit d’aller faire un tour sur mon site internet, vyrhelle.com. Pour le reste, j’essaie de faire de mon mieux pour la dévoiler dans mes publications, livres et bandes dessinées…

Indépendante, autoéditée et fière de l’être !

Il faut savoir que vous ne trouverez pas mon boulot dans les circuits classiques de distribution de livres. Pas la peine donc d’aller voir votre libraire favori pour trouver mes livres ou autres produits dérivés, il ne saura même pas qui je suis : je n’ai jamais été éditée de manière classique. Non, deux solutions s’offrent à vous pour découvrir mes travaux :   les salons où je me rends et internet. Tout ça, parce qu’il y a plusieurs années maintenant, j’ai choisi d’être indépendante, mais aussi auto-éditée. Et le bilan, après plusieurs années, c’est que je suis toujours très satisfaite de mon choix.

Arcea et ses chroniques

 Arcea, c’est mon œuvre principale. Un grand projet dans une démesure qui parfois m’effraie un peu et en même temps m’enthousiasme justement par son ampleur et sa richesse.

Tout a commencé par une petite étincelle en 2004/2005. Un petit rien qui s’est développé sans que je ne devine de suite son potentiel. Il a fallu attendre 2009 pour que j’envisage de l’exploiter. En bande dessinée d’abord. Parce que faire de la BD, c’était un rêve de gosse… Que l’héroic-fantasy, c’est mon violon d’Ingres depuis mes seize ans où j’ai découvert le Seigneur des Anneaux de JRR Tolkien… Que l’histoire des Pèlerins s’y prêtait bien… Que j’ai un attachement tout particulier pour certains des personnages… Aujourd’hui, trois tomes sont déjà parus et je travaille sur le quatrième des six opus prévus.

Voilà, j’ai un parcours artistique finalement simple et atypique. Je crée des univers, je m’efforce de leur donner vie et tout ça en restant libre et autonome.